Terra nostra telle mare nostrum le pôle est ma limite comme pour toi les fonds marins ma peur de l'eau te regarde nager
O lumière froide j'évoque la norvège ce jour d'hiver ne revient pas mais il reste la couleur ce bleu ce jaune que j'aimerais peindre
Tu sens que mes yeux fixent les vagues nous sommes un même corps et la peur et la joie
vive fut l'aventure l'heure de notre voyage
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La fête bat son plein pâleurs de nos visages pastel qui ne sont pas masques moqueurs comme à venise mais nous ne plongerons pas dans les eaux qui calment la fièvre
Nous roulerons nos corps sauvages sur le sable comme à versailles il y a ces tissus de satin médaillons camées et boîtes à poison qui doublent le destin
La fête bat son plein nos corps sont purs avant le grand le nocturne enlisement et la mort est une dune où le silence comme un grand manteau s’étendra
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