Guérie cette rage de vos chiens fendue cette grimace sur vos bouches comme le sourire du pardon je valse avant le vertige
Gravée dans le bois les fleurs de votre terre hanté mon cœur par des revenants en couleur je me couche après le vertige
Attiré par le halo d’un mirage ton corps contre mon corps s’étend comme s’abaissent les paupières je cille et chavire en un rêve
22 octobre 2010
France Burghelle Rey